édito

L'Edito de Joe le Gloseur

Commençons par écarter tout ce qui fait obstacle : les articles faux-culs, les dépêches AFP qui ne retiennent que les conneries sans intérêt (procès, interdictions, la télé Polac). Remarquez, c'est comme ça pour tous les sujets d'actualité, les journalistes bossent comme des cassos, en copiant les mêmes propos tiédasses et médiocres les uns sur les autres. Mais d'habitude, on ne se donne pas la peine de les lire, ou alors on s'en fout. Là, on a fait une revue de presse exhaustive. Rien à sauver, à part ceux qui connaissaient vraiment le professeur.

Cavanna est mal à l'aise.

Sur la fin solitaire, les SDF et la "Mouise", l'Organe est précis et informatif.

Le meilleur hommage est celui de Delfeil de Ton. C'est digne, c'est à la hauteur.

Pour le reste, nous abandonnons tout espoir de donner une image différente du bonhomme.

Si vous ne voyez dans le professeur Choron qu'un pitre éthylique, c'est bien fait pour sa gueule. Il a tout fait pour ça.

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Sommaire

Le professeur Choron par :

Captain Pat, qui fait sa psychanalyse.

Jane Sweet, qui s'en fout un peu.

Bill Térébenthine, qui fait de l'art.

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